Hé! Vous semblez être en United States, souhaitez-vous utiliser notre site English ?
Switch to English site
Skip to main content

L’obsolescence programmée n’est plus une fatalité

iStock-657711242_for-the-web_ef6129082da4e0119682ffa50832a0e99c772633.jpg
  
L'impression 3D des pièces détachées pourrait à court terme résoudre les problèmes liés à l’obsolescence programmée, la consommation de masse et l'augmentation des déchets électroniques.

 Effectivement, l’obsolescence programmée qui consiste à planifier la mort prématurée des  produits doit faire face à une évolution de l’opinion publique. Nos sociétés modernes se  préoccupent davantage de leur impact environnemental et l’opinion publique prend  conscience que le remplacement d’un produit a de grandes répercutions sur notre  environnement. Le remplacement systématique d’un produit défectueux n’est plus la  solution privilégiée. La recherche d’une alternative consistant à réparer le produit devient  la première démarche envisagée.
 
image_14_7e0a1f2de817e21594ce925a2457edb6163fdd7d.pngCe phénomène se manifeste par de nombreuses initiatives visant à réparer soi-même ses appareils. Largement relayé sur internet, il consiste notamment à partager des tutoriels vidéos, fiches pratiques et forums d’entraide.
La démarche n’est pas seulement virtuelle, l’offensive contre l’obsolescence programmée se développe également au sein les villes, avec l’implantation d’ateliers de réparation, de « Repair cafés » et garages associatifs pour la réparation des automobiles.

Face à ce mouvement, les fabricants s’adaptent à cette nouvelle situation.

Ainsi pour répondre à la demande de pièces détachées mécaniques, les fabricants envisagent l’impression 3D comme la solution idéale.

L’obsolescence programmée est aujourd’hui directement liée à la disponibilité des pièces détachées. En général, les fabricants s’engagent à fournir des pièces détachées pendant 10 ans pour des produits dont la durée de vie est estimée à 15 ans. Certains fabricants d’appareils audio/vidéo se contentent seulement d’une disponibilité de 2 ans.

De plus la facturation et les délais de livraison excessifs encouragent le consommateur à acheter un nouveau produit.
Les législateurs ont fini par prendre part timidement au combat en intégrant cette thématique dans la loi consommation du 17 mars 2014. Ainsi depuis le 1 mars 2015, les vendeurs ont l’obligation d’afficher la durée de disponibilité des pièces détachées des produits qu’ils distribuent. En revanche, le texte n’indique pas précisément où l’information devra apparaître et surtout dans quelles conditions les pièces détachées devront être fournies.

Les législateurs ont fini par prendre part timidement au combat en intégrant cette thématique dans la loi consommation du 17 mars 2014. Ainsi depuis le 1 mars 2015, les vendeurs ont l’obligation d’afficher la durée de disponibilité des pièces détachées des produits qu’ils distribuent. En revanche, le texte n’indique pas précisément où l’information devra apparaître et surtout dans quelles conditions les pièces détachées devront être fournies.

Ce manque de précision et l’essor de la technologie d’impression 3D permet ainsi aux fabricants de proposer une alternative virtuelle à la fourniture de pièces détachées et de supprimer les différentes contraintes de gestion de celles-ci.
 
Les fabricants offrent de plus en plus, la possibilité d’accéder aux fichiers CAO 3D
de leurs pièces détachées et des librairies de modèles CAO 3D fleurissent sur la
toile comme www.myminifactory.com, www.3dlibrary.fr, www.traceparts.com ou
encore fr.rs-online.com/cao-3d.

img2_4756cb72f2d9763d8a44e5b695c05f4f900ca7da.png
 
 
 
 
 
 
 
 
 
Ainsi les consommateurs ont la possibilité d’imprimer eux-mêmes leurs pièces ou de faire appel à un service d’impression 3D.

Les consommateurs sont alors libérés de toutes les contraintes liées à l’achat, à la recherche d’un revendeur, à la disponibilité et aux coûts englobant la pièce et la livraison.

Les fabricants quant à eux, se voient soulager de la gestion, de la fabrication, du stockage, de livraison ou encore du respect de la législation.
Une solution gagnant-gagnant !

RS components offre une gamme complète d’imprimantes 3D et de consommables mais aussi un service d’impression 3D.

Bien évidemment, l’impression 3D est parfaitement adaptée pour la réalisation des pièces mécaniques. 
 
Elle nimage_21_79cb1a4af955aadaed83ec78bdbdf551fee46796.pnge pourra en aucun cas pallier à l’obsolescence des composants électroniques  et  électromécaniques.
 Néanmoins des solutions proactives sont disponibles, notamment  l’application Obsolescence Manager de RS.

L’application permet d’évaluer les risques d’obsolescence de plus de 400 000 composants de l’offre RS et propose également des équivalents pour les composants à risque élevé.
 
 
 
Ainsi, ces solutions offrent une alternative aux consommateurs pour contrer l’obsolescence  programmée des produits.
nicolas.brunet n'a pas encore rempli le champs " à propos de moi" ...